Marianne Archambault-Laliberté
Conseillère principale
Forte d’un parcours multidisciplinaire alliant droit, relations internationales et engagement citoyen, Marianne Archambault-Laliberté met son expertise en communication et en participation publique au service de projets qui renforcent le dialogue entre les organisations et les communautés, ici comme ailleurs.
Spécialiste reconnue en engagement des parties prenantes, elle mobilise son savoir-faire pour bâtir des liens de confiance durables et favoriser la réussite de projets d’envergure au bénéfice des collectivités.
Avant de se joindre à Transfert, Marianne a travaillé chez AECOM comme spécialiste de l’engagement communautaire et des communications, où elle a contribué à des projets majeurs dans les secteurs industriel et des transports.
Auparavant, elle a également coordonné des initiatives de coopération internationale et d’engagement citoyen aux Offices jeunesse internationaux du Québec (LOJIQ), accompagnant des projets favorisant la participation des jeunes dans le cadre d’événements phares sur la scène mondiale, entre autres le Forum Alimentaire Mondial de la FAO et la COP15 sur la biodiversité.
Marianne se démarque par sa capacité de rédaction, ses expériences en facilitation et son aisance à travailler efficacement au sein d’équipes réunissant un grand nombre d’acteurs de milieux variés. Empathique, structurée et dotée d’un grand sens de la communication, elle valorise la co-construction et la vulgarisation comme leviers d’adhésion et de compréhension mutuelle.
Ses expériences auprès d’OBNL, d’organismes publics et d’entreprises privées lui confèrent une perspective élargie sur les enjeux auxquels les organisations sont confrontées aujourd’hui et les réalités dont elles doivent tenir compte pour mener à terme leurs projets de manière harmonieuse.
Son parcours académique inclut un baccalauréat en relations internationales et droit international (UQAM), une maîtrise en droit (profil droits fondamentaux, Université Laval, spécialisation Droits des communautés autochtones), ainsi qu’un certificat en relations publiques (Université de Montréal).